1. Document Scientifique du CRODT
http://hdl.handle.net/1834/98
2024-03-28T19:39:37ZDynamique socio-environnementale et gestion des ressources halieutiques des régions côtières du Sénégal : l’exemple de la pêche artisanale.
http://hdl.handle.net/1834/14346
Dynamique socio-environnementale et gestion des ressources halieutiques des régions côtières du Sénégal : l’exemple de la pêche artisanale.
NIANG, Ndèye A.
La pêche artisanale occupe une bonne partie de la population sénégalaise particulièrement sur
la Petite et la Grande côte, qui assure une part importante de l’approvisionnement en
ressources halieutiques des populations sénégalaises. Les conditions écologiques du milieu
marin influencent de nombreux aspects de la pêche artisanale au Sénégal. Le plateau
continental présente une superficie d’environ 28 700 km² sur un littoral de 730 km de côte du
nord au sud. L’essentiel de la pêche artisanale est concentré sur cette zone séparée en deux
côtes, nord et sud par la presqu’île du Cap-Vert. Notre zone d'étude (cf. figure 1) est divisée
en trois zones écogéographiques :
· La Grande côte est située dans la partie nord et la plus instable du littoral avec une
forte houle qui accentue la présence de la barre et rend les conditions de pêche
difficiles. Elle s’étend de Dakar à Saint-Louis, avec une côte sableuse et rectiligne
caractérisée par la présence des dunes blanches. Ainsi les centres de pêche sont peu
abondants à l’exception de Saint-Louis, Mboro, Fasse Boye, Kayar avec une forte
présence des communautés de pêcheurs traditionnels comme les Guet-Ndariens. C’est
ce qui explique en partie que les pêcheurs soient bien expérimentés pour contourner
les obstacles écologiques qui entravent le développement de la pêche sur le littoral
nord.
· La Petite Côte située entre la baie de Hann et Djifère Elle s’étend sur une longueur
d’environ 120 km. Elle est limitée au nord par la presqu’île du Cap-vert, à l'Ouest par
l'océan Atlantique, au Sud par la latitude 14°54 Nord. Sur la Petite côte la pêche
artisanale est très développée par rapport à la Grande côte. Les deux plus grands
centres de pêche du littoral se trouvent dans cette zone. Il s’agit de Mbour et Joal qui
ont une activité de pêche continue toute l’année. Ces centres de pêche sont bien situés
sur le littoral, avec l’importance de la largeur du plateau continental à cet endroit,
facilitant ainsi l’abondance des habitats des poissons et des zones de pêche favorables.
Tous ces facteurs écologiques font que la pêche artisanale est constante toute l’année
sur la Petite côte qui accueille une communauté importante de pêcheurs migrants
venant de Saint-Louis, Kayar, des Îles du Saloum, et de la Presqu’île de Cap-Vert.
2008-01-01T00:00:00ZStructure démographique des captures des filets tournants à Mbour et Joal.
http://hdl.handle.net/1834/10945
Structure démographique des captures des filets tournants à Mbour et Joal.
Lopez, J.; Sow, I.
Ce document de travail presente la structure démographique des captures
des filets tournants sur la Petite Côte : Xbour et Joal, en 1981.
Les données de base o prises et frequences, ont été traitées séparément
pour chacun des deux centres.
En ce qui concerne les statistiques pour chaque centre les donn&zs relatives
aux sennes tournantes et les filets maillants cncerclants’sont en
cours de publication et exploitées partiellement,
Pour les fréquences, toutes les mensurations effectuées ont été regroupoes
dans un fichier unique comprenant les donnEes de Mbour et de Joal, filets
maillants encerclants et sennes tournantes réunis. Le regroupement des mensurations
des deux centres tient au fait que les pêcheurs travaillent dans.
les mêmes secteurs capturant donc-les mêmes individus.
Quant au mélange des fr6quences des deux engins, il a été soumis 3 un’
test préalable ; nous avons trouv& qu’il n’y avait aucune différence significative
dans les tailles des individus capturcs à la serine tournante ou au
filet maillant encerclant.
Aprés fusion des fichiers P (g6nérG par le progr&nme SARAT) et F des
deux centres; le fichier OF obtenu a été trait5 par le pirogramme FREART
(Fréon et Ndiaye, 1979). Les +@sultats obtenus ont permis de dresser’ les
structures démographiques des espèces Echantillonnées. On notera que dans
l’archive, seules les principales espZces d@barquées ont, 6té représentées
1981-01-01T00:00:00ZUn développement sans développeurs ? Historique de la pêche artisanale maritime et des politiques de développement de la pêche au Sénégal
http://hdl.handle.net/1834/4587
Un développement sans développeurs ? Historique de la pêche artisanale maritime et des politiques de développement de la pêche au Sénégal
Samba, A.; Chauveau, J.P.
1990-01-01T00:00:00ZAnalyse de l'état des stocks d'albacore (Thunnus albacares) et de listao (Katsuwonus pelamis) de l'Atlantique au 30 septembre 1980
http://hdl.handle.net/1834/2890
Analyse de l'état des stocks d'albacore (Thunnus albacares) et de listao (Katsuwonus pelamis) de l'Atlantique au 30 septembre 1980
Fonteneau, A.; Cayre, P.
L'article analyse l'état des stocks d'albacore et de listao d'après les informations les plus récents disponibles. Le modéle de production géréralisé est employé en utilisant des données améliorées opue FISM. L'analyse conclue que le stock d'albacore est fortement exploité à un niveau proche de ou légérement supérieure à la prise anuuelle équilibrée.. La production par par recrue de la pêcherie est probablement à un niveau élevé du fait de l'importance captures de gros albacores réalisés par les senneurs et les palangriers. Celle-ci pourrait probablement être améliorée en réduisant les prises de petits albacores hors taille qui demeurent très importantes, tant chez les senneurs que chez les canneurs. Le même modéle appliqué au stock de listao n'a pas permis d'aboutir à des estimations fiables du fait probablement de la grande variabilité des pue et de leur tendance peu nette. Le niveau d'exploitation du ou des stocks de listao et les perspectives de développement de la pêcherie restent en fait une inconnue que l'année internationale du listao contribuera sans doute à lever.
This paper analyses the status of yellowfin and skipjack stocks in the Atlantic ocean, using the most recent available informations. Generalised production model has been used, with improved opue statistics of FISM purse seiner fleet. This analyse indicates the present fisheries are exploiting the yellowfin at a level near or above the MSY. The yield per recruit of yellowfin fisheries sems to be quite good, due to the high mean weight of the purse seiners and of the long-line catches. This yield per recruit could still be sligthly increased if catches of small yellowfin, which are still import & in baitbost and purse seiner landings, could be reduced. The same production model applied to skipjack stock does not provides reliable estimates of the MSY. This is probably due to the wide fluctuation of opue which does not show a clear trands, as for yellowfin. The real exploitation level of skipjack stock (s) and the potential catches of atlantic skipjack remains more or lesse completely unknow. The results that will be obtained from ISYP will probably help to solve that problem
1980-01-01T00:00:00Z